Les ingénieurs en science des matériaux de Stanford ont découvert que les cellules solaires en oxydes métalliques sont plus performantes que celles en silicone. Les cellules en silicone sont excellentes dans la conversion des rayons ultraviolets et de la lumière visible en électricité. En revanche elles gaspillent la chaleur résiduelle induite par la lumière infrarouge. Les chercheurs ont découvert que ça n’était pas le cas des oxydes métalliques. Plus ces derniers sont chauds, plus ils sont performants ce qui permet de doubler la vitesse de production d’hydrogène. Les oxydes métalliques tels que l’oxyde de titane , l’oxyde de fer et de bismuth ou l’oxyde de vanadium pourraient détenir la clé nous permettant de créer de larges panneaux solaires qui nous feraient entrer dans l’ère de la rentabilité énergétique du tout solaire.
L’énergie solaire à grande échelle va-t-elle devenir une réalité ?
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