Ils seraient un mal nécessaire à la société et n’existeraient que pour une raison ; vous faire travailler : les chefs. Bien sûr il y a de bons et de mauvais managers. Au mieux, ils remplissent leur fonction sans trop vous frustrer. Au pire… Et que vous travailliez pour une grosse entreprise ou une PME cela ne change pas grand chose. Dès lors, les résultats d’une étude menée auprès de 2000 canadiens âgés de 20 à 39 ans, à Vancouver, ne sont pas étonnants : 31% d’entre eux seraient prêts à ce que leur chef soit un algorithme. L’algorithme serait plus éthique et digne de confiance que son homologue humain selon eux. 34% préfèreraient être embauchés par un algorithme impartial. 33% préfèreraient être évalués par l’algorithme et 26% préfèreraient être supervisés par l’algorithme. Pourtant les algorithmes sont-ils si impartiaux ? Ils sont conçus par des humains pleins de préjugés comme le montre le dernier exemple en date.
1/3 des jeunes canadiens préfèrerait que leur chef soit un algorithme
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