CNBC rapporte que Facebook « a demandé à plusieurs grands hôpitaux américains de partager des données anonymes sur leurs patients… dans le cadre d’un projet de recherche ». L’idée était de donner aux chercheurs plus d’informations sur les patients en liant les données des utilisateurs aux dossiers médicaux tout en cachant les détails privés à l’aide d’une technique cryptographique connue sous le nom de hachage. Pour autant, dans le contexte actuel, cela soulève plusieurs questions. Les patients auraient-ils eu le choix de s’inscrire ? Quid de la conformité par rapport à la Loi sur la transférabilité et la responsabilité en matière d’assurance-maladie, qui énonce les règles de protection des données personnelles pour la protection des renseignements médicaux ? Selon Facebook, ce projet n’a « pas progressé au-delà de…. »la planification. » Facebook indique aussi que le projet est en suspens pour l’instant pour être en mesure de réaliser « un travail important, y compris… concernant la protection des données des gens ».
La suite ici (Jamie Condlitte)