En 2015, un algorithme Google Photo a automatiquement étiqueté deux amis noirs comme des « gorilles », simplement parce que le programme avait été sous-entraîné pour reconnaître les visages à la peau foncée. La même année, un pédiatre britannique s’est vu refuser l’accès au vestiaire des femmes à son gymnase parce que le logiciel utilisé pour gérer son système d’adhésion a automatiquement codé son titre de « médecin » en tant qu’homme. Ces exemples ne sont qu’un aperçu des biais intégrés dans notre technologie, sur laquelle notre vie repose de plus en plus, par les géants technologiques de la Silicon Valley.
La suite ici (Stephanie Russel-Kraft)
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