Des chercheurs ont découvert que toucher des zones, correspondant aux « organes génitaux » ou aux fesses d’un robot, provoquerait une réponse physiologique chez les humains. Les tests ont été effectués avec un robot mesurant moins de 2 pieds de haut, possédant des yeux, des oreilles, un torse, des jambes, des bras et pouvant parler. Nao invitait les participants à toucher un point précis de son anatomie robotique. Les résultats de cette étude mettent en relief les effets, positifs ou négatifs, que les robots sociaux produiront sur les humains. Lorsque ces robots nous assisterons publiquement ou personnellement, les interactions croissantes créeront une forme de lien. Quels types de relations allons-nous développer avec ces robots ? Et quand ils sauront simuler l’empathie ?
