Si jamais vous deviez analyser rapidement le phénomène cosmologique qui caractérise les lentilles gravitationnelles, il serait préférable d’utiliser les réseaux neuronaux. C’est certainement ce que les chercheurs du SLAC National Accelerator Laboratory et de l’Université de Stanford ont conclu : leur analyse, s’appuyant sur l’IA, des distorsions dans l’espace-temps s’est déroulé 10 millions de fois plus rapidement que les méthodes qu’ils utilisaient jusqu’ici. Dans article publié dans la reveu Nature, l’équipe explique avoir conçu des réseaux neuronaux entraînés à reconnaître différentes lentilles, via l’étude d’un demi-million de simulations informatiques.
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