Une équipe du Georgia Institute of Technology a mis au point une méthode pour numériser les informations générées par les puces micro fluidiques. Fatih Sarioglu a ajouté à ces dernières trois électrodes. De cette façon les puces sont en mesure d’attribuer un numéro d’identification unique à chaque cellule, de capturer les informations liées à leur taille et leur vitesse, puis de compter et analyser les cellules. Le dispositif fonctionne de la même façon que les réseaux de téléphonie cellulaire qui gardent une trace de l’identité de chacun des appelants. Les chercheurs ont créé l’équivalent d’un réseau de téléphonie mobile sur une puce micro-fluidique. Cette méthode pourrait permettre de démonétiser et démocratiser l’accès à des devices de tests médicaux.
