Une équipe de chercheurs de la Toyohashi University of Technology au Japon a fabriqué un dispositif sans fil de transmission d’énergie capable d’alimenter une interface neuronale préalablement implantée. Ce nouveau système évite que l’interface implantée ne soit relié à une source d’énergie. Il évite donc les risques infectieux et donne toute liberté de mouvement aux patients. Une femme peut déjà contrôler un bras robotique avec son cerveau. Bientôt elle pourra contrôler un exosquelette et retrouver sa mobilité. Puis elle pourra contrôler les robots qui la laveront et l’habilleront et la déposeront délicatement dans son exosquelette pour qu’elle puisse faire du shopping.