Des chercheurs ont récemment découvert que deux types de mémoire utilisaient des processus totalement différents mais véhiculés au sein des mêmes nerfs. Ces travaux pourraient ouvrir la voie à de nouvelles solutions pour traiter l’anxiété et le syndrome de stress post-traumatique.
Les expériences pouvant nuire à un organisme, comme subir un acte de violence, sont encodées et enregistrées à mesure que les liens entre les neurones se renforcent. Parfois, cette mémoire accidentelle peut provoquer des angoisses qui peuvent faire subir un préjudice dans la durée. Selon l’hypothèse synaptique de marquage et de capture, un stimulus faible peut tout de même créer une mémoire à long terme. Or, jusqu’ici les recherches antérieures montraient que les processus chimiques derrière les deux processus de formation de la mémoire avaient des propriétés communes qui les rendaient impossibles à distinguer.
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