Le diagnostic et la guérison de l’automatisation

Japanese robot giant Yaskawa Electric's industrial robot Motoman performs a cooking demonstration at the International Food Machinery and Technology Exhibition in Tokyo on June 10, 2015. Some 680 Japanese and foreign food machinery companies are exhibiting their latest technology and products in the four-day trade show. AFP PHOTO / Yoshikazu TSUNO (Photo credit should read YOSHIKAZU TSUNO/AFP/Getty Images)

Il y a quelque temps, je feuilletais mon flux d’actualité Facebook et suis tombé sur un commentaire intéressant de Jeremiah Owyang. Il défiait ses amis à nommer un emploi dans le futur qui ne sera pas automatisé.

Un tas d’idées différentes ont surgi dans mes pensées : du médecin à l’avocat, de l’artiste à l’athlète. Un par un, je les ai finalement rayé de la liste. Je suis resté perplexe. Je ne pouvais pas penser à un emploi qui ne sera pas automatisé un jour.

Je l’ai déjà dit, il y a toujours un point de bascule, une valeur précise où une fois atteinte il devient plus logique de résoudre un problème avec la technologie plutôt qu’avec le travail. Mais même alors, la transition est rarement instantanée et ne saute pas aux yeux. Elle se produit généralement sur plusieurs itérations. Les emplois ne disparaissent pas, ils s’évaporent.

Cela m’a fait penser au sujet du processus d’automatisation. Comment cela fonctionne ?”

John Hauer

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Ingénieur en technologie de l'information, passionné par l'innovation et la singularité. Co-fondateur du think tank virtuel Paris Singularity.

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