Dans l’optique de modéliser des puces fonctionnant comme le cerveau humain à la vitesse de la lumière et à plus grande bande passante, les systèmes de calcul neuromorphiques et optiques sont d’un grand intérêt. La combinaison réussie de la photonique avec des puces neuromorphiques devrait augmenter considérablement la vitesse des réseaux neuronaux. Ils deviendraient 3 fois plus rapides selon les chercheurs de Princeton. Pourquoi c’est important ? Parce que plusieurs domaines de recherche convergent vers les mêmes objectifs : accélérer la vitesse de traitement informatique et modéliser le cerveau humain via la conception de puces. Si les approches se combinent, le résultat est inéluctable. Plus important encore, le déplacement de la complexité des réseaux neuronaux et de l’intelligence artificielle vers les puces informatiques va simplifier la programmation, une étape vers l’ouverture de l’informatique cognitive aux masses.
Le premier réseau neuronal photonique en silicium vient d’être créé
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