Des nanobombes pourraient tuer les cellules cancéreuses en passant outre une barrière biologique qui bloquait jusqu’ici le développement d’agents médicamenteux. Ces derniers sont généralement formés d’ARN et complexes à utiliser pour deux raisons. D’abord ils se dégradent rapidement au contact du système sanguin. Ensuite, les cellules cancéreuses compartimentent les nanoparticules dans des endosomes pour les empêcher d’agir.
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