Les scientifiques peuvent maintenant observer le cerveau évaluer le risque

5

À la Stanford University un rat est confronté à un choix. S’il appuie sur un levier, il reçoit une dose fixe de liquide sucré. S’il appuie sur un second levier, il obtient habituellement moins mais peut aussi gagner beaucoup plus. Ce choix entre une valeur sûre et un pari risqué est celui auquel nous sommes le plus fréquemement confronté. En étudiant le cerveau de ces rongeurs, Kelly Zalocusky a identifié un groupe spécifique de neurones impliqués dans la prise de risque. Leur activité révèle si le rat est sur le point de privilégier la sécurité ou le pari. Et en faisant taire ces neurones au bon moment, l’équipe de Zalocusky peut instantanément (et temporairement ) convertir les rongeurs parieurs en « bons pères de famille ». Elle peut donc influer sur la décision. 

La suite ici

(Visited 74 times, 1 visits today)
Avatar photo

Fondateur paris-singularity.fr👁️‍🗨️Entrepreneur social trackant les deep techs

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *