General Electric va commercialiser l’année prochaine un nouveau dispositif d’impression 3D qui cible spécifiquement les industries de l’aviation, de l’automobile, de l’espace, du pétrole et du gaz. Ce nouveau dispositif est le reflet d’une vague de progrès rapides dans l’impression 3D métal. Le mois dernier, des chercheurs du Lawrence Livermore National Laboratory ont annoncé qu’ils avaient mis au point une nouvelle méthode qui créait des pièces en acier inoxydable trois fois plus résistantes que toutes les autres pièces en acier imprimées en 3D. Les pièces « critiques » peuvent maintenant être imprimées en 3D sans craindre de compromettre l’intégrité structurelle. La startup Desktop Metal, quant à elle, s’attaque à la barrière de la vitesse. Sa machine de production, disponible à l’achat l’année prochaine, permettra d’imprimer 100 fois plus vite les pièces métalliques qu’une imprimante 3D laser.
L’impression 3D métal surmonte enfin ses limites
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