Nous vivons au sein d’un monde hyper-connecté où la communication est quasi instantanée. Le prochain défi, donc, n’est pas d’augmenter le nombre de relations possibles, mais de développer la qualité et la profondeur de ces relations. En d’autres termes, la qualité doit maintenant primer sur la quantité. La technologie pourrait-elle nous y aider ? Ces outils pourraient-ils être appliqués aux relations amoureuses? Pouvons-nous concevoir un algorithme d’intelligence artificielle (IA) qui nous lie avec exactement le genre de personne avec qui nous pourrions partager une relation amoureuse ? Jamais nous n’avons eu autant d’informations sur les gens et ce qu’ils veulent. Et si le la clé de l’amour résidait dans les chiffres, et dans un puissant combo d’IA et de big data qui pourrait incarner l’entremetteur ultime ? Par exemple, eHarmony et d’autres sites de rencontres collaborent avec de grands acteurs de l’IA comme IBM Watson pour établir chaque jour 3,5 millions de propositions personnalisés et donc « optimisées pour l’amour ». Les algorithmes de correspondance perfectionnés via des recherches psychologiques et sociologiques filtrent et comparent les données personnelles pour plus de 20 millions d’utilisateurs. Selon Jason Chuck, un directeur de eHarmony, ces algorithmes sont continuellement améliorés et affinés à travers des centaines de variables. Et si l’analyse des big dat pouvait faciliter la rencontre du grand amour ? Et si cela pouvait réduire l’augmentation des relations ratées et proportionnellement augmenter celles qui nous rendent heure ? Pourquoi alors ne pas continuer à améliorer et investir dans ces outils ? Cupidon pourrait aussi bien être un algorithme.
Love is in the air (boosté par des algorithmes d’IA)
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