Une technique chirurgicale de pointe développée par des chercheurs de Johns Hopkins Applies Physics Laboratory (APL) a permis la mise au point d’une nouvelle méthode qui offre aux amputés des prothèses de membres disposant d’une large gamme de mouvements avec un maximum de confort. La nouvelle procédure est appelée osséointégration. Un dispositif compressif appelé Compress est implanté dans la moelle entre l’os et le résidu de membre. Il est ensuite utilisé comme une « ancre » qui induit une réponse biologique de la part de l’os, ce qui crée par conséquent une connexion forte et de longue durée entre l’implant et l’os. L’implant devient tout simplement une partie de l’os. Ensuite un adaptateur introduit à travers la peau est relié à l’implant de compression sur le côté de l’os, ce qui permet une connexion directe avec la prothèse de membre externe.
La suite ici