Dans beaucoup de parties du monde, le diagnostic de la malaria passe par l’observation humaine d’un prélèvement sanguin au microscope. C’est l’oeil humain qui contrôle et compte le nombre de parasites. Un programme d’intelligence artificielle peut déjà remplacer l’Homme dans ce diagnostic. L’intelligence artificielle intègre un microscope automatique appelé Autoscope dont le taux de détection est de 90% (plus élevé qu’actuellement). En 2015 la malaria a infecté 214 millions de personnes et en a tué 438 000. Le combat contre la maladie a aussi coûté 2,7 milliards de dollars l’an dernier. L’utilisation de l’intelligence artificielle pourrait permettre de réduire les coûts, gagner en rapidité et en fiabilité.