Un patch électronique épidermique n’est peut être pas une innovation relativement récente mais ces nouveaux patchs électroniques sont maintenant pas chers, faciles et de plus en plus rapides à fabriquer.
Cette semaine dans Science Advances, John Rogers le spécialiste des matériaux de l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign et son groupe de recherche ont présenté un dispositif électronique portable qui transmet sans fil des données de santé comme la fréquence cardiaque, le niveau d’oxygène dans le sang, la température de la peau, l’exposition aux ultraviolets, et les changements de couleur de peau, et le tout sans batterie !
Au lieu de cela, le patch est alimenté par NFC, near-field communication (NFC) transmis par smartphones, tablettes et autres appareils électroniques grand public, ce qui en fait un produit cinq à 10 fois plus minces que des gadgets comparables.