Feng Zhang et ses collègues du MIT ont mis différentes techniques au point pour améliorer CRISPR. Grâce à ces dernières le généticien d’Harvard George Church estime que le taux d’erreur de CRISPR serait de 1 pour 300 trillions de lettres de l’ADN. Dans le pire des scénarios ce taux est donc similaire au taux de mutations spontanées chez les humains. En d’autres termes il y aurait autant de risques à utiliser CRISPR que de ne rien faire.
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