Les scientifiques de Carnegie Mellon travaillent sur une technologie de pointe qui pourrait un jour résoudre la pénurie de transplantations cardiaques actuellement utilisées pour réparer les organes endommagés. La plupart des bioimprimantes 3D coûtent plus de 100 000$ et requiet une expertise « technique » limitant fortement son adoption. Le groupe d’Adam Feinberg a réussi à implémenter sa technique sur une imprimante 3D grand public coûtant moins de 1000$ en utilisant du matériel et des logiciels open-source.
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