Bien que les pays en dehors des États-Unis, de l’Europe, et du Japon représentent 60% de la population mondiale, ils constituent aujourd’hui moins de 1% des données génomiques séquencées. Essentiellement parce que les pays « pauvres » se sont d’abord concentrés sur la gestion et l’éradication des maladies transmissibles. Ils n’ont par conséquent ni eu le temps ni les ressources pour lancer des grands programmes comme le Human Genome Project aux Etats-Unis ou le Genomics England au Royaume-Uni. Global Gene y a vu une opportunité. Compte tenu des prévisions démographiques, des statistiques sur le cancer, et des dépenses dans la recherche pharmaceutique, les dirigeants d’entreprise estiment que le marché indien de l’information génomique pourrait s’élever à 1.9 milliards de dollars par exemple.
1% des données génomiques séquencées issu de 60% de la population mondiale
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