Après la Chine, le Royaume-Uni et plus récemment la Suède, le gouvernement japonais vient d’approuver, il y a quelques jours, la modification génétique d’embryons humains, mais uniquement dans un cadre précis. Le panel de bioéthiciens a donné son feu vert à l’utilisation d’embryons humains modifiés pour : identifier les gènes prépondérants pendant la phase précoce de la croissance, développer des traitements contre les maladies congénitales et améliorer les technologies liées à la reproduction. L’utilisation clinique de technologies comme CRISPR par exemple a été rejetée, du fait des risques d’erreurs liés à l’édition mais aussi des impacts qui n’ont pas été évalués.
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