Les ordinateurs quantiques apprennent à contrôler leur propre travail

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Image par Gerd Altmann de Pixabay

Des chercheurs de l’Université de Warwick ont mis au point une méthode pour vérifier les réponses fournies par un ordinateur quantique. En basant leur approche sur des problèmes pour lesquels les réponses sont déjà connues, l’équipe est en mesure de quantifier l’effet du bruit à l’intérieur de l’ordinateur, en créant deux mesures en pourcentage pour déterminer la précision. La première mesure est une estimation de la proximité entre la réponse de l’ordinateur quantique et la vraie réponse, tandis que la seconde est un score de confiance vis-à-vis de cette proximité. De cette façon, les ingénieurs en informatique quantique peuvent améliorer les machines, identifier les sources d’erreur et ouvrir la voie à de futures applications.

Pourquoi c’est important ? Par définition, les ordinateurs quantiques sont conçus pour résoudre des problèmes qui prendraient aux ordinateurs classiques un temps exponentiel à résoudre. Ainsi, dans le passé, les chercheurs avaient besoin de ressources informatiques classiques exorbitantes pour vérifier leurs réponses, une tâche qui devient rapidement irréalisable dans le cas des applications conçues pour les ordinateurs quantiques. Grâce au nouveau protocole mis au point par les chercheurs, les systèmes d’informatique quantique peuvent s’auto-contrôler, indépendamment des grands serveurs, et ainsi devenir beaucoup plus utiles.

La suite ici (Alice Scott)

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