Des chercheurs du MIT et de plusieurs autres universités ont découvert que le graphène pouvait être utilisé pour ralentir la lumière en dessous de la vitesse des éléctrons et ainsi créer un faisceau de lumière intense. Les chercheurs appellent ce phénome « boom optique »car il est similaire au boom sonique provoqué par les ondes de choc lorsqu’un jet dépasse la vitesse du son. Ils pensent que cette nouvelle façon de convertir l’électricité en lumière pourrait ouvrir la voie à des circuits basés sur la lumière qui seraient intégrés au sein des dispositifis informatiques ultra-compacts.
(Visited 148 times, 1 visits today)
L’info paraît des plus prometteuses, mais j’en arrive à me demander personnellement si à notre époque, les supposés scientifiques ne sont plus vraiment capables d’établir une frontière entre le réel et la science-fiction.
Et si c’était plutôt l’inverse ? Mon hypothèse : les progrès scientifiques accélèrent tellement que la science passe pour de la science-fiction à ceux qui n’en sont pas partie prenante. La convergence de plusieurs facteurs a un effet démultiplicateur : big data (en 3 ans nous avons généré plsu de données qu’en 200 000 ans d’Histoire, le volume disponible sur Internet doublant tous les 1.25 an), open source (90% des recherches en IA le sont devenues, l’Open science européen d’ici 2020), capacité brute d’analyse du big data pour faire d’autres découvertes (AlphaGo de DeepMind dans la santé par exemple), « intelligence » moyenne humaine en progrès constant, intelligence collective à l’échelle de la planète via Internet/device mobile, fin de la barrière des langues…