Comment eviter le piratage à l’imprimante 3D

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En l’an 2000, l’industrie musicale était puissante. Les maisons de disques produisaient des albums et expédiaient des objets physiques chez les disquaires pour les vendre. Internet était en train de devenir un système de consommation et de distribution de masse, mais la plupart des consommateurs continuaient d’acheter encore de la musique sur des supports physiques. Bien que l’industrie du disque avait connaissance de l’émergence du piratage en ligne, la menace semblait minime. Puis arriva Napster.

L’industrie musicale a d’abord essayé d’arrêter le piratage à grande échelle en poursuivant les plates-formes de téléchargement et les individus (dont beaucoup étaient de pauvres étudiants). L’opinion publique s’est tournée contre l’industrie. Après tout, la musique numérique est immatérielle; c’est bien différent de glisser physiquement des CD ou des cassettes sous sa veste. Et alors qu’aujourd’hui un grand nombre de personnes accèdent en ligne à leur musique légalement, il est probable que les revenus de l’industrie musicale n’aient jamais totalement récupérés.

Avec l’impression 3D, une autre technologie révolutionnaire et innovante, il est facile et peu onéreux de produire des objets physiques. Tout comme la copie privée a changé les industries du droit d’auteur, l’impression 3D est en passe de faire la même pour les industries fondées sur les brevets.

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Ingénieur en technologie de l'information, passionné par l'innovation et la singularité. Co-fondateur du think tank virtuel Paris Singularity.

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